Salon du livre 2015
Serait-ce encore une psyco-rigidité bien hexagonale?
Les changements, les avancées, les nouveautés, ont toujours un peu de mal à imprimer. Ainsi se constituent des monopoles, des rentes, des niches, et les nouveaux entrants ont du mal à intégrer le cercle de plus en plus étroit.
Ainsi se créent des cercles concentriques de plus en plus éloignés du noyau, mais de plus en plus attractifs, du fait de la marche vers le progrès qui est inexorable. La nature ayant horreur du vide, certains précurseurs ont parfois bouleversé les systèmes occasionnant d'autres recompositions et d'autres agrégats...
Les exemples foisonnent. Le minitel passé aux oubliettes du fait d'internet. Le 3615 code ULLA a fait place aux Meetic, Adocte un mec.... Free a perturbé le marché de la téléphonie, les Itineris et Monsieur le 9 ont changé de dénomination.
De fait, même si les parts de marché ne sont pas encore significatives, il n'en demeure pas moins que l'édition numérique et l'auto-édtion en marge de l'édition traditionnelle sont viables.
Ainsi, les petites rivieres, les cours d'eau, les affluents, les fleuves finissent parfois dans les mers et océans sans oublier qu'ils sortent parfois tous de leurs lits....
C'est le journal Marianne qui est à l'honneur avec les articles du 19 février et du 1 er mars 2015, véritable ode à la lecture.
En substance, la lecture possède la vertu d'approfondir sa connaissance des autres, de soi même et d'accroître sa culture
On parle même de bibliothérapie ou l'art de remédier à son mal de vivre grace aux livres.
Lire pour aller mieux?
La lecture serait-elle une occupation de oisifs?.
D'après Flaubert, le livre, quel qu'il soit serait-il toujours trop long?
Littérature? Lecture? Pourquoi faire?
La question est bizarre, mais légitime.
Mais l'utilité de la littérature est aussi vieille que la littérature elle même.
La lecture donne intimement accès à l'autre, élargit le champ de la connaissance et la profondeur de l'expérience ( Pierre Jourde).
Pour Patrick Modiano, la littérature ajoute du mystère aux êtres qui semblent submergés par la vie quotidienne, aux choses en apparence banales, et cela à force de les observer avec une attention soutenue et de façon presque hypnotique.
Que penser des intellectuels qui attribuent à la littérature des fonctions pratiques et des buts philosophiques!
À ce propos, la philosophe Marta Nussbaum dans "L'art d'être juste" fait de la lecture une manière d'amplifier l'imaginaire moral et d'assurer une justice poetique et peut nous entraîner à la recherche du bien.
Certains adeptes des sciences cognitives estiment que la lecture est un exercice mental et d'entraînement à la vie sociale et au nom d'une philosophie neodarwinienne. Elle peut apaiser les passions collectives et proposer des solutions imaginaires à des problèmes
possibles.
Le réel serait visible grace à des excursions dans la fiction.
Dans la lecture, on peut apprendre des choses qui ne s' apprennent pas à l'école.
Aragon peut nous aider à tomber amoureux tandis que Rabelais peut nous guerir de notre timidité.
Coup de gueulle, coup de griffe.
Valerie a donné son accord pour adapter son book en film.
En tout cas, coucher avec le président, ça rapporte un max, elle aurait pu pousser le vice jusqu'à écrire 50 nuances de Francois, elle aurait gagné le triple ou le quintuple des 700.000 exemplaires vendus, environ 1.400.000 euros in the pocket, avec l'année prochaine au moins 500.000 ou 700.000 euros au fisc...
Du coup elle contribue à résorber la dette abyssale de l'Hexagone, car dur dur de vider la mer avec une petite cuillère.
Sincèrement., son book, n'est pas le summum de la littérature même s' il est maintenant un best seller avec une adaptation future pour un film.
Quoi que, je râle un peu, même si j'ai vu le film "La conquête" de Sarkozy. ...
Mais pour les coucheries, j'ai été étalonné avec les trois volumes de 50 nuances de Greys, et je ne pense pas que Trierweiler fasse mieux.
Il n'en demeure pas moins qu'en tant qu'auteur en herbe, j'admire et je suis un peu jaloux de son succès. ...
J'aimerai faire la moitié, je suis très modeste, le tiers, le quart, le cinquième, le dixième, le centième, le millième de ses ventes...
Grrrrrrrrr (c'est pas le froid hivernal)....
La France est tout de meme schizophrène. ..
2014 a porté au firmament Trierweiler et Zemmour,....
2015 nous sort du chapeau Houellebecq dans un registre inattendu ....
Le père de la science fiction doit se retourner dans sa tombe devenue très étroite
La littérature part vraiment en vrille....
Loukouks....
-Hou lalalalala...mais il y a de la réflexion dans les écrits de cet auteur!!! Lol. D'abord le titre "Les déboires de François", puis dans les phrases piquées dans les premières pages " L'enfer ce n'est pas toujours les autres, ainsi François prend ses responsabilités, il assume tous ses actes sans en faire un drame, ce qui est courageux du reste". Puis cette interrogation peu banale: "Faut-il être un malade mental pour diriger un pays? Etc, etc... Mais où auteur a-t-il bien pu aller pêcher tout ca??? Si quelqu'un peut me le dire?
Sophie Angeli (Chers équipiers): MBS le 06/10/2014.
-Le sujet est assez particulier, mais intéressant pour ceux qui veulent se lancer dans la construction de leur première maison. Belle plume, se laisse lire.
Sissi Taty: MBS le 18/03/2013
-A conseiller à tous ceux qui veulent faire construire leur maison. Ça peut faire réfléchir aux meilleures options à prendre, avant de choisir un terrain et signer un contrat. L'écriture chronologique montre bien les problèmes rencontrés. La psychologie évolutive de l'acquéreur est bien décrite. Le livre aborde la complexité de notre justice et l'intérêt du compromis. Le titre n'est pas du tout explicite: "Construire en connaissance de cause" serait plus attirant.
Parcoureur: MBS le 03/04/2013.
-Le livre devrait être diffusé pour information à tous les futurs maîtres d'ouvrages. Bravo, ce livre retrace vraiment les états d'âmes vécus par les maîtres d'ouvrages. Un petit bémol, le titre n'est pas précis pour être lu par les futurs acquéreurs. Un lien sur le site public de l'Aamoi?
Fran 83 : MBS le 27/04/2013
-Bonjour, pas mal ce bouquin, effectivement à conseiller pour décourager les gens de construire à moins d'être pro. On n'a pas la maison qu'on veut, on a peut-être celle que le constructeur veut bien construire. Le problème est qu'on croit pas, et qu'on se dit, ben non, il n'a pas eut de chance, ça ne m'arrivera pas. Ensuite, on est comme beaucoup dans la grotte (un lecteur qui a dépassé la date limite de livraison depuis 1 ans) et qui attend toujours. Je conseille à l'auteur de se lancer dans l'écriture d'un vrai roman, son style se lit bien, mais par pitié, pas dans la construction.
Lecteur: MBS le 30/04/2013
-Il n'est pas toujours simple de se raconter. Je vous souhaite un beau succès.
Nostromotus alias Léon Chevalier: MBS le 16/10/2013
-Construire sa maison est rarement un long fleuve tranquile. Nombreux sont ceux qui doivent se retrouver un tant soit peu dans cettz saga. Votre histoire est intéressante et instructive pour tous ceux qui s'apprêtent ou hésitent à faire le pas.
François Collette: MBS le 11/11/2013
-A la limite du suspense, angoisse du narrateur est la notre. Très bon témoignage, agréable à lire, pas fastidieux du tout.
Marina LL: MBS le 14/12/2013
-C'est une page tournée aujourd'hui, un grand bravo et merci de partager une tranche de vie avec le public. Je l'ai lu en deux jours, tellement j'étais captivée. J'espérais trouver à la fin une illustration. Ce qui compte, c'est que kvous avez pu contre vent et marrée, accéder à la propriété.
Yessuette: MBS le 23/06/2014
Une enquête de l'Institut Français de l'Opinion Publique (IFOP) de Février 2013 a révélé que 17% des Français ont écrit un manuscrit, soit 10 millions de Français.
D'autre part, la lecture, écriture font encore partie des fondamentaux des apprentissages en début de scolarité. De par ma profession de fonctionnaire, écrire est un passage obligé dans la rédaction de rapports administratifs, de note d'attention ou de synthèse ou autres documents.
Mais, l'écriture au sens littéral au point revendiquer le statut d'auteur en herbe est le fait d'un parcours et une expérience personnelle atypique lors de la construction de ma maison, par un constructeur de maisons individuelles.
En effet, jour après jour, je notais sur mon agenda tous les rendez-vous, toutes les discussions que j'avais avec les représentants du constructeur, conducteurs de travaux, maçons, terrassiers, commerciaux; les comptes-rendus des visites de chantiers jusqu'aux petits soucis et premières malfaçons.
Au bout du compte, l'aventure s'est terminée avec 9 mois de retard, sans oublier l'entrée dans la danse d'autres intervenants à savoir deux géomètres, le maire de ma commune et ses représentants, la DDE, un avocat. Résultat des courses avant le tribunal: une négociation et finalement une transaction, le tout consigné sur un deuxième agenda, jour après jour.
L'Histoire était quasiment oubliée lorsque 5 ans plus tard, en désencombrant mon sous-sol, je suis tombé sur mes deux anciens agendas relatant point par point la construction de la maison. Après avoir pris le temps de les relire, tellement j'ai été frappé par la chronologie que j'ai compris que ces deux agendas pouvaient constituer un véritable écrit.
Ainsi, avec beaucoup de recul, j'ai commencé à retranscrire mes deux agendas en les élaguant, en les édulcorant un peu. De fait, il s'est produit un déclic, l'envie, la faim et la soif d'écrire ne m'ont plus quittées.
Alors, je lis et j'écris, encore et encore, avec cette envie irréfragable de progresser, et d'être lu.
Telle est l'origine de cette écriture qui était balbutiante, et qui s'affirme de plus en plus.
Partager "Tranche de vie" est un premier pas, échanger avec les lecteur déjà un aboutissement.
Et enfin, "Les déboires de François" commence à voler de ses propres ailes, sans oublier toutes les idées qui se bousculent dans ma tête, et qui ne demandent qu'à éclore...
Loukouks
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Le but ultime d'un livre, sans prétention aucune, est qu'il soi lu, même à raison d'une page par jour. Conquérir dans le temps, la durée, la distance, jour après jour, lecteur après lecteur, avec beaucoup de feeling, comme un homme qui fait la cour à une femme, ou une femme qui séduit un homme, avec amour, patience, passion, rigueur, modestie, conviction et un grain de folie.
Après "Tranche de vie" qui comptait 236 pages, le nouvel opus "Les déboires de François" est plus léger en pages, 145.
Le contenu est également plus léger, voire sur le temps de l'humour.
Autant la psychologie du narrateur était très présente dans "Tranche de vie", qui est dans le registre du témoignage auto-biographique, la psychologie du personnage principal François, l'est également dans "Les déboires de François", qui peut jouer dans le registre du roman ou d'une série de plusieurs nouvelles.
Les frontiéres ne sont plus intangibles depuis belle lurette.
Finalement, à quelque chose, malheur est bon, car après "Tranche de vie", l'envie, la faim, et la soif d'écrire ne m'ont plus quittées.
"Les déboires de François" en est l'illustration parfaite.
Le revers de la medaille est l'envie d'être lu, d'être commenté, d'être critiqué au sens le plus noble. Un auteur, même en herbe, attire la critique". Le fameux chaînage
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En tout cas, bienvenu à ce nouveau jet "Les déboires de François" qui a migré directement en version ebook visible sur tous les bons sites d'ebooks, et bien sûr, consultable sur monbestseller.com.
Loukouks.
